Zouave_ La p'tite fraise

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• Blowin Peace

Surnom : Blinis (mais il aime pas, ça lui rappelle de la bouf) Monde : High Tide Âge : Indéterminé Citation : Awouzeugaga !

• Goûts

Aime:
♣ Faire la sieste
♣ La biere
♣ Les chapeaux colorés
♣ Raconter sa vie
♣ Faire des blagues

Aime pas :
♣ Les champignons
♣ Les tortues
♣ L’égoïsme
♣ L’ennui
♣ Son passé

• Description physique & mental

Un petit papy de un mètre trente avec son chapeau et ses semelles roupillait tranquillement sur sa chaise. Ses bras couverts de tatouages et d’usure due a son passé le tenais plus ou moins en équilibre, accouder a la table. Il rêver sans doute aux aventures qu’il avait vécut. Aujourd’hui, le seul piment qu’il pouvait mettre dans sa vie était les conseils qu’il donner au jeune pirate décidé à partir a la recherche de trésor et d’adrénaline. Il apparaissait beaucoup la visite de ses jeunots qui se moquaient gentiment de lui et de son gout pour la bière. En retour il leurs faisait des farces de gamins. Et oui, c’est dans cette petite taverne sur une île paumée au milieu de la route de tous les périls. Les yeux clos et la tête légèrement penché lui donner presque l’air de réfléchir. Ce dont il était le plus fière, physiquement, c’était sa barbe grisonnante et mal taillé qui lui donner un côté ronchons. Il ne quitter jamais un chapeau, parmi sa collection tous était constitué de longue plume colorer. Faites attention jeune aventurier ! Si il vous surprend entrain de lui piqué l’un de ses chapeaux, sa vous coutera cher. Du moins, s’il arrive à vous rattrapé avec ses petites jambes maigrelettes.

• Histoire

Quelle est donc cette question stupide... Allez donc le voir. Il vous racontrera des détails croussilants de son passé.

Spoiler:

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• Kiochi Hurasa

Surnom : Chichi Monde : Pensionnat Wagashi Âge : 14 ans

• Goûts

Aime : ♥ Faire la pom-pom ♥ Séduire les garçons ♥ Se maquiller ♥ Les commerages ♥ La mode

Aime pas: ♥ Les p'tit bêtes ♥ Baisse de sa popularité ♥ Faire du sport ♥ Le froid (neige) ♥ Avoir tord

• Descriptions

• Physiquement… l'archétype de la pouf de base ; toujours bien coiffer, bien habiller, jolie, à la mode.

• Son caractère est un peu enfouit sous les couches de « j’veut ressembler a tout le monde » et « j’me moque des autres, ça m’évite d’en prendre plein la face ». A vous de la découvrir <3

• Histoire.

♫ La, la, laa ! ♪

Entendez-vous cette mélodie enchanteresse ? Elle provient de la salle de bain de cette luxueuse maison. Quelle sirène s'exerce donc au fond de la baignoire ? La dame de la demeure passe devant, ses talons aiguille claquant sur les carreaux. Elle sourit de ses longues dents blanche. Sa fille est vraiment la plus charmante des enfants. Kiochi raconte à sa mère que tout les jeudi elle est bénévole dans une aide humanitaire quelconque et ce baratin conviens parfaitement à madame Hurasa. Sa petite princesse ne peut pas faire de mal à une mouche. Elle est parfaite. Comme toujours son apparence est sa sécurité, sa protection devrais-je dire. Car si quelqu'un ouvré la porte a ce moment précis. Il verrait un poste radio avec une voix pré-enregistré et un étrange tapis rouge qui contraste avec la salle lumineuse. Et a côté Kiochi qui regarde le sol d'un air songeur. En avançant plus l’intrus verrais ce que regarde réellement la collégienne, un corps inerte entouré par ce tapis... Non cette marre pourpre. Cette flaque de sang.

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• Mio Xang

« Je gueulerais un jour ma vision colorés, je taguerais les murs noirs de ce monde bien trop sombre, j’écraserais sur la tronche des ignares leurs idées reçus, je gommerais enfin toute la grisaille de la vie… Mais avant j’vais aller boire un coup pour oublier toutes ses conneries idéalistes. » Surnom : Appelle moi pot d'peinture et tu n'retrouvera plus tes dents. Monde : Pensionnat Wagashi Âge : 16 ans

• Descriptions

Caractère :
Franc - Coléreux - Fêtard - Inquiet - Téméraire - Séducteur - Intelligent

Physique :
Cheveux teint selon son humeur et la dose d'alcool bu - grand - allure de sportif - enchevêtrement de collier et piercing (il fais toujours sonné l'alarme dans les aéroports) - yeux gris

• Histoire.

J’ai était écraser par une voiture et par chance le chirurgien qui s’occuper de moi a également des talents artistique et a transformer mon visage en un mélange de couleurs. Pour ce qui est du 69 c’est un tatouage chinois.

… Attendais, vous m’avez crus ? °Aïe, j’ai en face de moi un abruti°

Mais non, je te raconte que des conneries mon vieux ! Tu croit que j’raconte ma vie à tout les passants ?

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• Bertrand Davy de Montdragon

Surnom : Le prince... pas très charment. Monde : Conte de fée Âge : 26 ans

• Goûts

Aime:
♦ Les princesses riches
♦ Les châteaux
♦ Bref, le luxe !
♦ Les animaux (surtout les beaux chevaux blancs)

Aime pas :
♦ Son éducation
♦ Les vielles sorcières
(elles essayent de faire capoté ses plans d'héritage)
♦ Cendrillon (elle est ruiner)

• Descriptions

Caractère :
Froid - Avars - Rusé - Patient - Calculateur - Cultivé

Physique :
Élégant - Regard calculateur - Grand - Maigre - Toujours bien vêtue

• Histoire.

~ Sa naissance _ ou passer en un soir du paradis à l'enfer

Beau gosse ? Oh n’allons pas jusque là. C’était un bébé mignon à faire pleurer les autres mères que la sienne mais quand même… Il restait quand même une grosse boule rose joufflue. Néanmoins il commença comme tout prince classique qui se respecte ; grand château, grande famille, grande beauté, grande gueule *Poêle*. Le seul dernier détail pas encore au point était sa futur femme. Oui je sais, nous parlons d’un gosse qui vient de naître, mais ses parents commencer déjà à préparer son avenir. Ils avaient donc organisé une promenade en landau sur une jolie allé couverte de roses, dans un jardin aussi somptueux que le reste du domaine. Tout se dérouler parfaitement, l’immense taille du parc donna un aperçu à la belle famille de la fortune qu’allais hériter leur fille. Malheureusement le hic (comme il y en a toujours un) était que, heureux de l’avenir de son fils, le père du garçon avait bue toute la nuit. Il paria des sommes de plus en plus grandes aux jeux puis, pris dans le feu de l’action et de l’alcool, ne trouva pas mieux que de parié toute sa fortune aux jeux. Ce fus évidemment a se moment que la chance le lâcha. En quelques heures, il avait perdue des années de complots et héritage que sa famille avait gagné. Par chance, l’homme avait toujours était prudent, gardant suffisamment d’argent pour vivre convenablement sur ses réserves. Il ne parla de son erreur, ni a sa femme qui aurais accomplis un meurtre, ni a ses amis en qui il n’avait aucune confiance. Il ne pouvait décemment pas vendre son château, renvoyé ses domestiques sans parler de faire des économies. Il vivat donc avec la certitude qu’un jour, son paradis disparaisse.


~ Son adolescence_ ou comment mettre ses talents naturels à profit


« Crise cardiaque, et oui il fallait bien qu’il se fasse remarqué une dernière fois mon crétin de père. La raison, que nous avons comprise plus tard est en plus bien stupide. Ma mère était dans le bureau de mon cher papa, quand celui-ci y entra à son tour. Il remarqua l’air énervé de sa femme et en déduisit sur le coup qu’elle avait trouvé les nombreuses dettes que la famille accumulé. Elle lui montré des papiers en hurlent, et pendant son monologue mon père fis son petit arrêt cardiaque. En réalité, ma mère pestée contre l’énorme bazar de la pièce. »
Extrait du journal de Bertrand

Par la suite, la veuve découvrit le mensonge de son mari et, contre toute attente ne poussa pas de fureur monstre mais resta sans un mot pendant une semaine puis fini par exploser de larme. Toute sa vie aller bientôt s’évaporé. Néanmoins la chère dame n'en resta pas moins méthodique. Quand elle eu retrouvé son calme elle organisa la remonté du prestige de la famille. Sa solution : un changement de tactique. Elle vendit la maison et investie dans les cours pour son fils. Il devrait a présent apprendre l'attitude d'un gentleman et les méthodes de "drague". Sa cible ? Les princesses. Ayant hérité d'un gracieux visage la moitié du chemin était fais.

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• Maria

La seule chose important a savoir c'est que je suis libre. Ma vie est le reflet de se que je suis, pas un stupide nom comme celui de ma mère... Tout le monde la connaissais et l'appeler madame Hitch. Mais c'est fini tout ça, c'est fini. Personne ne m’appellera jamais Maria Hitch... Oui Maria. J'aime beaucoup la sonorité de ce prénom. Apparemment il veut dire "aimé"... Un prénom bien féminin. C'est a moi de donné un sens et une valeur a se prénom. Dire que toute ma vie je me suis battue dans cet objectif… J’ai environ 21 ans, c’est déjà trop… N’ayans pas fais le décompte de mes années, ça m’est égal… Celui ou celle qui m'aimera n'aura que faire de mon passé. Et moi je l'aimerais, homme ou femme, qui qu'il soit... ou presque.

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• Descriptions

Physique :

+ Toi +
Imaginé une jeune femme… Une belle jeune femme. Plutôt grande, une poitrine bien dessiner, de jolies hanches, de long cheveux soyeux, bref une femme qui a tout pour plaire. Elle devrait être plutôt heureuse de cette apparence non ? Maintenant rajouté de longues oreilles de lapin, toute blanche, au dessus de la tête. A présent vous comprenez peut être pourquoi mademoiselle Maria Hitch déteste son apparence. Malgré tout les compliments que lui font ses proches, déjà peu nombreux, ses oreilles la préoccupe tant qu’elle n’imagine pas passer inaperçu dans la rue. Crainte de la différence, rejet, souffrance…

- Eux -
Si elle pouvait gommer ces deux énormes problèmes blancs, les gens verraient sans nul doute sa peau doré par le soleil d’Italie. Ils se rendraient compte que ses cheveux noirs lui arrivent au bas du dos. Que de longues mèches se promènes en désordre sur son front et devant ses yeux. Ceux-ci on d’ailleurs une couleur étonnante qu’on aperçoit quand on ose la regarder en face. En effet elle n’est pas habitué à sourire, encore moins a voir un regard doux ou agréable. Ses yeux d’un bleu sombre, presque noir sont surlignés par de fins sourcils noirs. Enfin, ils s’apercevraient peut-être, que même sans ses oreilles de lapins, l’allure de Maria est un mélange de grâce et sauvagerie.

# Lui #
Son amour, si elle n’avait pas renoncé à en avoir un, se rendrait compte de tous ses détails. Il sera voir, sur son visage rond, des lèvres plutôt charnues qu’il sera faire sourire. Il transformera le désespoir de son regard en deux étincelles de bonheur. Peut être même arriverait-il en un regard à la percer a jour. Pour lui se sera bien plus qu’une rose des sables taillé dans l’argile.


Caractère :

Distante, froide même glacial. Oui vous pouvez le dire. Au premier coup d’œil, Maria est loin d’être attachante et amicale, même au deuxième d’ailleurs. Tout d’abord elle ne sort de son caractère fermé que quand elle a appris à bien connaître une personne. On peut dire qu’elle ne se lie pas facilement au gens, mais quand c’est le cas, elle leurs fait vraiment confiance. Ensuite, la méfiance est la première sécurité qu’elle prend pour se protégé des autres.

Elle est également de nature pessimiste. Depuis qu’elle est petite, mademoiselle vois la vie a travers un voile noir. Elle a un peu l’impression que tout lui tombe dessus. Ses problèmes s’enchaînent souvent à la suite les un des autres. Ils ne sont pas souvent gravissimes mais à force de les voir ce succéder, le moindre petit incident prend des allures de catastrophes. Vous allez me dire que c’est le comble pour un lapin d’avoir si peu de chance, mais en réalité la plus grosse partie ce passe dans la tête de la jeune femme. Elle est malchanceuse, certes, mais pas beaucoup plus que tout autre personnes. Son enfance est sans doute suffisamment marquante pour qu’elle ne la répète.

Malgré tout, cette jeune femme est très tourné vers les autres et très généreuse derrière ses airs indiffèrent. Un peu bourrue, plutôt directe et… vraiment pas patiente, Maria a en effet un caractère bien trempé.

• Histoire.

Histoire :

Un petit lapin perdu loin du terrier. ♥

Terreur… Frisson glacé…
Une ruelle apparaît, je m’y engage, essouffler. Je m’agrippe à un mur l’espace d’un instant. Reprendre son souffle puis courir. Courir à toute allure sans oser regardé derrière soit. Mais j’ai des petites jambes… Je n’ai que sept ans. Et je dois m’échappais encore et encore, m’enfuir pour ma liberté. Les rues sont vastes… les endroits pour se cacher sont peu nombreux. La peur au ventre je continue à fuir. Mes orteils me font souffrir mais je sais que si je m’arrête c’est la fin du jeu. C’est la fin de ma vie libre. Mais je détalais surtout car elle me l’avait dit. Tout doucement, comme si c’était ses derniers mots. C’était peut être le cas en faite. Je ne la reverrais sûrement pas… et ça me faisait peur. J’étais pourtant tranquille, dans cette petite maison. Chez une vielle dame qui m’avait recueillit. Elle faisait le ménage quand je l’ai aperçut pour la première fois. Elle m’a demandé ce que je faisais là. Je lui ai dit ce que me racontaient les hommes en blouse. Pour la science.

Je crois qu’elle a rapidement compris que quelque chose n’allais pas. Quand elle m’a demandé qui étaient mes parents je n’ai pas répondu. Et elle m’a prise avec elle. Elle était très gentille. Elle me demandait toujours si j’avais faim ou soif… Et puis, un jour, des voisins à elle ont découvert que j’avais de trop longues oreilles pour une petite fille, quand les scientifiques créent quelque chose ils préfèrent le garder en principe… Mais tout ça, on ne le savait pas encore. Plus tard, des gens qu’elle ne connaissait pas sont venus. Et elle m’a dit de m’enfuir. Je l’écoute… même si sa me fais de la peine de ne plus la voir. J’ai réussit à les évitaient jusque là. Mais j’en ai vraiment marre de devoir quitter des proche et m’enfuir à nouveau. J’ai fini par entrer dans une impasse. Je me suis coucher sur un tas de poubelle, étaler sur le sol entre une vielle couverture et une boite en carton.


Nouvelle fuite du lapin blanc.

En me réveillant j’ai sentis un frison glacer, quelque chose de pas normal venais de se produire, réveillant mon instinct animal. En regardant autour de moi je mis un vingtaine de seconde à reconnaître le lieu ou je m’étais endormi. Ma vie a toujours était comme ça, chercher un coin tranquille, m’endormir tard le soir de peur que quelqu’un me repère tout seul et me réveiller sans savoir où je suis a force de bougé… Personne n’est directement responsable de mon sort (a par ses conards de généticien), donc j’en veux à la Terre entière. Au gens qui me regarde avec un air triste sans rien faire de plus, à ceux qui détournent le regard, aux cinglés qui espèrent jouer avec moi sans que je ne réagisse, à ceux encore plus fou qui croient pouvoir le faire sans mon accord, a n‘importe qui, qui entretient de prés ou de loin le système et enfin a toute les personnes dans mon cas qui me prouve chaque jour que cette vie n’est pas un mauvais rêve et qu’ils soufrent aussi. Oui, je les déteste pour leur inaction, c’est peut être ridicule mais c’est ainsi. J’y suis même allé, voir ses animaux de cirque qui se laisser exploité de grès ou de force…

Flash back ~

Gris brouillé, gris-bouiller. Un ciel comme je le déteste bien, inexpressif. Je rêve depuis toute petite de voir la mer apparemment si tumultueuse, puissante. Un bruit assourdissant qui coupe toute réflexion, qui brouille toute pensé. C’était avec ses mots là qu’un artiste raté m’avait décrit l’océan. J’étais tellement émerveiller par ses paroles que je me demandais comme il avait pus sombré ainsi dans l’oublie, parlant a une hybride des rues… Oui, je crois que s’était sur la pensé de cet homme si bon et bienveillant que j’étais entré dans l’animalerie. J’étais à présent presque fier d’être hybride car cela me rapprocher d’autre animal que l’homme. En me faufilant avec mon béret camouflant bien mes oreilles, je suis entré dans une salle curieusement bien tenue et respirable mais ce n’étais que l’accueil. J’aperçus derrière un rideau la vrai facette de se lieu. C’est là où la puissante horreur de l’homme se révèle en plein jour, montrant comment, en quelque instant, il anéantie la moindre espérance qu’on peut avoir sur cette espèce. Le lieu n’était pas nommé animalerie pour rien, tous les hybrides étaient des barreaux, d’ailleurs les autres animaux ne mériter par plus d’être enfermé, les seuls à grillagé étaient tout les responsables de cette esclavage qui semblait choqué de moins en moins. J’eu du mal a m’habitué au regard qu’avaient ses pauvres petits, car ils étaient souvent jeunes. Parmi tout se fouillis mal éclairer une personne capta néanmoins mon attention. Un garçon avec des cornes de bélier se tenait tranquillement dans la cage et ne semblais pas aussi faible et maigre que les autres. Ses cheveux blanc et grands yeux oranges braises me rappeler un vague souvenir. Je me suis accroupie prés de sa cage, à sa hauteur pour ne pas faire trop de bruit. Je lui ai dit en enlevant ma casquette pour qu’il distingue mes oreilles :« Tu me rappelle quelqu’un… Je me souviens plus où j’ai pus voir ta face de bouc… »

Flash back ~

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