Un assassin au pays des lutins (libre)

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Le pire étant que mes espoirs secrets s’étaient par la même occasion évaporés dans cette journée de grosse chaleur. Comme ce monde est sournois. Si il existe une force qui domine nos vies elle semble insidieusement profité du moment où je suis la plus vulnérable, quand je retrouve espoir. Vous comprenez, à force de luté, je combattais le monde par habitude et par résignation, plus que par envie. Mais l’espace d’un instant j’avais vue une raison de tenir bon. Elle s’était évanouit avec mon rêve. Peut être est-ce mieux ainsi. Comment pouvait-il m’aimé si moi-même je ne me reconnaissais plus. Une espèce de fillette pleurnicharde. Néanmoins cette douleur était agréable. S’abandonné…. Ne plus luté… J’oscillé entre ses deux états ; la lute et la résignation jusqu'à ce que mes larmes tarisse et que je devienne étrangement calme. Comme un le silence assourdissant qui succède à l’ouragan. En regardant le sol je remarquai une flaque qui me renvoyé mon reflet. Une pauvre chose avec les cheveux emmêlé comme jamais et les yeux rougis. Je concurrençais n’importe quel insomniaque avec cette tête.

Moment de réflexion. Pourquoi y a-t-il de l’eau ici ? Les météorologues créaient des microclimats pour les forets et les lieux de végétation, pas en plein milieu de la rue. Une seconde… Ce n’est même pas une rue. C’était un chemin en terre. J’écarquillai les yeux comme une petite enfant émerveillé. J’étais tellement préoccupé que je n’avais pas fais attention à ma destination. Mille questions se rencontrèrent dans ma tête, la première étant : Suis-je ne danger ? Toute personne ayans traversé les mêmes épreuves que moi aurait le même reflexe, croyez moi. Les vendeurs de vies qui me rechercher étaient capable de bien plus. Je m’accroupi, premier reflexe à avoir au cas d’une éventuelle attaque. Bon Maria calme toi. Si quelqu’un te voulait du mal il l’aurait déjà fais quand tu étais aussi vulnérable qu’un gosse de 10 ans. Mais cela n’expliqué en rien ma situation. Dans quasiment toutes les circonstances j’ai toujours sus où j’allais. Mais voila que je m’abandonne un instant et des putins de papillons me tourne autour.

Oh non… Pourquoi est-ce que je cours ? Je n’ai pourtant rien commandé à mes muscles. Mais qu’est ce que… oh non je me dirige vers les hautes zones d’herbes. Cervelle de lapin idiot ! Mon instinct animal est encore plus aiguisé que d’habitude. On dirait que… je suis dans un vrai lieu naturel. Oh décidément j’ai trop fumé de trèfle. Quel usagi débile je fais là. Mon monde est tout sauf naturel c’est même l’exacte opposé. Oh, peut importe où je suis. La première chose à faire c’est de trouvé une ville. A partir de là je devrais arriver à me débrouillé. J’avance donc, suivant ce chemin irrégulier et poussiéreux. Ce lieu paisible était trop parfais pour être réel, il me déconcerté, me déconnecte de la réalité. Mais je fus bien vite réveillé par l’apparition d’un étrange être. En clown en peluche arrivé face a elle en sifflotant on ne sait comment avec sa bouche en coton. J’eu le reflexe de roulé sur le côté, caché par les épiassent touffes d’herbes. Je regardai passer ce guignol en pyjamas sans comprendre un traître mot de ce que je vivais. Quelque chose me chatouilla le coude, je pensais d'abord qu'il s'agissait d'un végétal quelconque. Mais en me retournant je vis que la fleure produisait des bulles de savons qui éclataient sur moi.

Suis-je morte ? Sur le coup ce fus l’explication la plus plausible aux étrangetés qui m’entouré. Oui c’est ça, je suis tombé en enfer. Et le responsable qui m’a fichu ici doit ce tordre de rire, j’aurais mille fois préféré des flammes que cette prison de toutes les couleurs. Cet univers horripilant ressemblé au navet que regardé les mômes sur hologramme. Oui c’est cela, je suis dans un fucking de dessin animé à la con. Comme je m’attendais à tout instant de tombé sur un schtroumpf ou un chat arc-en-ciel, j’attrapa ce qui semblait être mon bon vieux magnum si rassurant. Et au lieu de tombé sur le pistolet 8 coups j’avais une sarbacane dans les doigts.

- Sérieux, c'est quoi ce délire ?